Bonjour. Ma présence sur ce site est régulière depuis quelques semaines, mais voici que pour la première fois j'écris. Je me reconnais tellement dans ce que je lis ici. Je suis juste dans l'étape de prise de conscience : oui je suis alcoolique. Il faut que je me l'avoue une bonne fois pour toutes. Car peu importe que je ne boive que du vin, peu importe que je sois capable de ne pas boire pendant quelques jours. ce ne sont pas des excuses qui feraient que je ne suis pas "tout à fait " alcoolique. Si je le suis, complètement. Alcoolique. Alors bien sur, tant que c'est festif , ou même en couple, on fait comme si c'était pas grave. Même si les quantités sont là, même si la régularité et l'envie irrépressibles sont là. Mais quand , comme depuis deux mois, j'achète et bois de l'alcool seule car mon mari n'est plus là la semaine, et bien on est face à ses réalités. Bien obligée d'assumer. quand la bouteille se transforme en cubi parce que c'est plus facile à jeter, (et parce qu'on ne compte pas bien combien on boit ??), quand on s'arrête que parce que c'est vide ou parce qu'on s'endort comme une merde, quand on se cache de ses enfants qu'on colle devant la TV pour pouvoir boire, quand on se dit "pas demain " mais que demain on recommence, quand on se rend compte qu'on a oublié une partie de sa soirée canap tv quand on se dit que le week end on peut se lacher, sans s'avouer qu'on s'est laché toute la semaine quand on se rend compte qu'à la dernière invit chez des amis, on a amené une bouteille qu'on s'est sifflé toute seule quand on commence à se dire que finalement un ou deux verres le midi pourquoi pas... Alors OUI on est alcoolique. Comment ai je pu faire semblant de ne pas le voir depuis tout ce temps ? Et maintenant ? Je suis perdue ! Que dois je faire ? Vais je y arriver seule ? sans aide ? sans médicament ? dois je avoir le courage d'aller en parle à quelqu'un ? Je sais que je ne suis qu'au début d'un long chemin. La libération risque d'être longue et semée d'embûches. Je n'écrirai pas aujourd'hui c'est mon dernier verre car je suis faible. Et que je pressens que ce serait mentir, évidemment. Mais j'ai au moins écrit "je suis alcoolique"
Par Anonyme
02/12/2020 à 13:48
Bonjour Barti,
C’est agréable de lire de tes bonnes nouvelles. Moi aussi ma vie a changé. Je suis plus calme, moins centrée sur moi même. Je crois que je suis plus à l écoute de mon partenaire et ça se passe beaucoup mieux dans mon couple. Le fait de ne plus avoir besoin d artifices comme l alcool pour passer de bonnes soirées ensemble nous fait presque revenir à une sorte d adolescence. On se raconte des choses qui avant ne nous seraient pas venues à l esprit de partager. Nous sommes plus simples, plus vrais. Je pensais qu’on s’ennuierait et bien non, on peut passer une soirée sur une grille de mots fléchés et rire de nos exploits parfois catastrophiques on se force à aller se coucher. Même pas de télévision.
Je suis également moins passionnée par mon travail c est bizarre parce que j en suis fière, peut être est ce parce que ma vie a la maison est devenue plus en accord avec moi, je me sens mieux chez moi, ce qui est plutôt bien en cette période. Ce confinement aura eu le mérite de ne pas nous avoir tenté en sortant.
Mon ami aussi veut changer de travail, il suit des formations sur le net en découvrant de nouvelles choses, on verra où cela le mène...
Bravo pour ton 28 eme jour ! Je ne compte même plus car je ne compte pas reprendre. Même à Noël ce sera bizarre avec mes frères et mes parents mais craquer ne vaut pas le coup, ce changement de vie est plus important que qu’élues bons verres, je sais déjà ce que c est et c est la nouvelle vie qui m attend que je n ai pas fini d explorer.
Ce n est pas inutile de le réécrire et je te remercie de nous relancer, il est important je pense d avoir conscience d ou nous venons et de ne pas oublier les raisons de nos choix. Maintenir par écrit des objectifs est une façon de garder le cap.
C est mon 25 eme jour. J en ai donc 3 de moins que toi
À bientôt et belle journée à tous,
Virginie ( qui a su s arrêter à temps)
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Par Didou
02/12/2020 à 14:25
Bonjour à tous,
1 MOIS !!! Premier objectif atteint !
Le prochain est de passer les fêtes. Et malheureusement je ne suis pas encore bien certaine de vouloir/pouvoir fêter sans un ou deux verres. Ce n’est pas sain de penser ainsi je le sais mais j’y pense tous les jours.
Ne le prenez surtout pas mal mais je me dis aussi « je ne suis pas comme les autres... une (Noël) ou deux (nouvel an) soirées arrosées ce n’est pas grave... juste une exception, tu peux y arriver sans retomber dedans complètement !
Voilà ma position aujourd’hui et je vous admire, Barti, Virginie et les autres qui êtes super motivés pour cette fin d’année. J’espère que je trouverai le courage ou la volonté tout simplement.
Bon après-midi ! Didou
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Par barti
02/12/2020 à 14:43
Re,
Je suis très content pour toi Virginie, c'est apaisant de voir que l'on s'en sort ensemble!
Savoure bien ces moments retrouvés et accroche toi comme nous nous accrochons tous. J'espère que l'on a passé le plus dur et que le meilleur est devant nous. Je suis de plus en plus tenté d'y croire..
A très vite pour souffler ensemble notre 1ère bougie. Et nos messages ont fait passer le cap des 70 au fil de Drunkette. Alors merci infiniment à toi Drunkette, tu nous as mis sur la voie!
Bonne fin de journée à tous
Barti
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Par Olivier 54150
02/12/2020 à 20:17
Bonjour.
Comme c'est agréable de vous lire.
Bravo pour votre détermination.
Après 20 jours sans alcool, il n'y à plus une goutte d'éthanol dans le corps.
Donc les envies, ce ne sera que dans la tête, un jeu de mémoire fastidieux, voir vicieux.
- Cette fois, vu ce que j'endure, j'ai bien mérité un verre pour me détendre...
- C'est quand même pas normal que tout le monde peut boire et pas moi.
- Ce n'est pas avec un ou deux verres que je vais replonger comme avant.
- j'ai réussi à m'arrêter une fois, après tout je pourrais le refaire... c'était pas si difficile...
Par définition, les croyances peuvent être très tenaces.
C'est là que je vous invite à relire le premier poste de ce fil. Merci Durkette, en tombant le masque tu as créé un belle effet papillon.
L'alcool est partout, tout le temps, légal et pas cher. Tout nos héros picoles souvent par contrat avec les alcooliers.
Pour nombre d'entre nous ça reste une drogue dur.
Pour moi, le "à consommer avec modération" écrit sur la bouteille est une insultes. Mais bon, ils sont obligés.
Les fêtes approchent, les tentations vont être fortes, ou pas. C'est un beau défi, un chouette pari.
J'ai pris ma première cuite un soir de Noël en buvant discrètement les fonds de verres de champagne (trop rigolote cette limonade) j'avais 13 ans... J'ai vomi sur mon pauvre train électrique fraîchement déballé, et je me suis dit que je ne buverais plus jamais...
Trop de Noël sont gâché à cause de l'alcool, c'est triste.
Ne pas boire ces périodes de fête est l'occasion de voir le décalage lorsque vous êtes face à quelqu'un qui a trop bu, souvent cela confirme à quel point on n'a bien fait d'arrêter.
C'est avant tout une fête pour les enfants est leurs montrer qu'on peut être heureux sans produits est un très beau cadeau. Les enfants vois tout, enregistre tout, quelques soit l'âge.
C'est une nouvelle vie, plus vrai, plus brute quelques fois, où apprendre à relativiser les hauts et les bas n'est pas toujours simple sans béquilles chimique.
Écrire est ce qui m'a toujours le plus aidé pour devenir un peu comme une drogue, n'hésitez pas un instant.
(Deux façons d'écrire :
-Pour témoigner comme ici, et cela me semble important.
-Pour évacuer, faire le tri dans des pensées trop dense... là, c'est mieux sur du papier car on brûle après.)
Un verre c'est trop, dix c'est pas assez.
Au plaisir de vous lire.
Oliv
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Par Anonyme
03/12/2020 à 11:18
hello !
Vous allez me faire rougir avec vos remerciements ....
Ce qui est marrant c'est qu'au final c'est moi qui ai été la moins sérieuse ! ;-)
Pour ma défense, j'ai été confronté au refus en soirée et en société chaque week end, soit le plus dur à gérer.
Mais bon ça y est, j'ai dépassé les 6 jours entre deux week ends ! Un jour mes amis diront de moi "Elle ne boit pas" plutôt que "Elle a la descente facile"
aujourd'hui c'est mon 11ème jour.
Comme Barti, le passage devant les épiceries du quartier reste problématique. Ou plutôt non, j'y pense systématiquement mais je sais que je ne craquerai pas. Je ne l'ai pas fait depuis que j'ai ouvert ce post (acheter et boire seule) donc, pour çà je tiens le bon bout. Quand je vais faire trois courses, je passe dans le rayon alcool comme on passe devant un rayon bonbon ou chocolat... lol
J'ai enfin repris le sport , je cours, et j'essaie de m'intéresser à ma ligne. J'aurais espérer qu'arrêter de boire me fasse perdre quelques kilos, mais c'est pas flagrant snif ! Bon ok, je suis trop impatiente.
Comme vous je me sens bien, fière et alerte ! J'ai le teint frais, j'ai l'impression d'avoir rajeuni.
Comme vous, je me questionne sur Noël. J'aimerais tellement y arriver. Sans alcool. Pas avec 1 verre ou 2 mais avec 0.
Ce combat, en plus, c'est moi même contre moi même. Les autres font ce qu'ils veulent.
Oliv, les pensées que tu cites sont déjà venues mille fois.... Alors oui je me relirai régulièrement pour re-sentir ce que j'ai ressenti ce jour là, dégoût , honte et envie de vivre !
Bon courage à tous.
A bientôt
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Par Anonyme
03/12/2020 à 12:53
Bonjour à tous,
Je suis le fil de vos discussions depuis le début et me décide enfin à échanger avec vous. Je me présente : Louis - marié - 2 enfants -profession libérale ayant mes bureaux à mon domicile.
J’entame mon 10ème jour d’abstinence aujourd’hui.
Je reste très motivé et très vigilant pour ne pas prendre ce 1er verre. Un seul verre pour moi comme peut-être vous aussi ne suffira pas à me contenter. Comme dit Olivier, un verre c’est trop. 10 c’est pas assez.
Je commençais à boire généralement à partir de 17h30-18h (picon biere - pastis et quelques fois du vin à table).
Cela m’arrivait de ne pas manger avec ma famille car j’étais trop émèché ou alors je voulais encore profiter pour boire encore.
Ma consommation augmentait de plus en plus avec le temps. Je me couchais épuisé vers 21h-22h et me réveillais en pleine nuit entre 2h et 4 avec des nausées, des crampes d’estomac, et quelques fois des maux de de tête. J’avais beaucoup de mal à me rendormir. Le matin au réveil, j’étais déjà fatigué de la journée et plutôt de mauvaise humeur. Je me disais que le soir, je ne boirais pas mais lorsqu’arrivait l’heure de l’apéro, je commençais à boire un verre puis 2 - 3 - 10... L’histoire sans fin...
Ce 1er verre servi avait toujours une bonne raison pour moi : me récompenser de ma journée de travail ou de vouloir me détendre ou me donner du courage ou me calmer d’une frustration ou me désinhiber...
Cette sensation de joie que j’ai pu ressentir avec l’alcool était éphémère. J’avais l’impression quelque fois d’être tout puissant, intéressant, jovial... mais bon nombre de fois j’ai eu honte de ce que j’avais pu faire ou dire et j’ai gâché des moments de bonheur à cause de ça.
Je me suis rendu compte que j’étais alcoolique quand j’ai pris conscience que je buvais tous les jours et de plus en plus. Et que je ressentais un manque lorsque je n’avais pas ma dose. Les seuls jours où je ne buvais pas, c’était les lendemains d’une très grosse cuite.
Refusant de continuer ma vie ainsi, j’ai décidé d’aller à une réunion des Alcooliques Anonymes. J’ai appris qu’une consommation modérée (ce que je voulais au départ) n’était pas possible pour moi. Pour moi, (comme la plupart des alcooliques j’ai l’impression) c’est tout ou rien.
Cette année, j’ai arrêté pendant + de 3 mois l’alcool (pendant le 1er confinement) et j’ai repris en buvant du vin à table avec des amis. 1 semaine après au restaurant avec un client. Quelques jours après, un apéro chez un ami. Quelques jours ensuite, je buvais mon 1er verre seul dans mon bureau. Puis ça a été crescendo. J’avais l’impression que je buvais encore plus qu’avant comme s’il fallait rattraper le temps perdu.
Il y environ 2 mois, j’ai arrêté pendant 9 jours et j’ai repris à cause d’une dispute familiale. Il peut toujours avoir un prétexte pour commencer à boire son 1er verre (quand on est bien ou quand on est mal).
C’est pour ça que je reste très vigilant et que je suis circonspect concernant les fêtes de fin d’année (gros test) puis mes 40 ans en 2021.
Mais prenons 24h à la fois et profitons du jour présent.
Très belle journée à vous tous et au plaisir de vous lire à nouveau !
Louis
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Par Anonyme
03/12/2020 à 13:56
Merci pour ton message Louis. C’est très encourageant de ne pas se sentir seule à prendre cette décision. Ton expérience de reboire juste un peu nous parle à tous je pense. Moi aussi j avais réussi à tenir avec 2 verres et puis 3 jours après c était la bouteille. Redéclencher cette envie et pour moi maintenant quelque chose que je redoute. On peut vraiment comparer ça à la drogue, il nous en faudra toujours plus à un moment ou à un autre quelque soit la force de notre résistance. Justement plus la résistance sera forte plus nous boirons le moment venu du « craquage » s il faut 6 semaines pour enlever les effets secondaires de nos abus sur notre cerveau ( j ai lu ça par rapport aux trous de mémoire et déconcentration) alors je vais me sentir vraiment mieux au bout de 6 semaines car je ne me sens pas assez concentrée, même si j ai récupéré une belle peau, comme Drunkette j ai rajeuni je suis plus fraîche. Il paraît qu il faut prendre de la vitamine B1/b2 pour compenser les pertes memoires et concentration au niveau du cerveau. L alcool a été tellement nocif.
Merci pour ton témoignage.
De tout cœur avec toi, je vais me faire un cocktail avec du gingembre du citron de la menthe et des petits bouts de fraises Dedans ça me mettra en joie je pense pour les fêtes.
Je penserai à vous tous qui allez également essayer de tenir pour les fêtes, ensemble même à distance nous serons plus forts.
Bien à vous tous,
Virginie.
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Par barti
03/12/2020 à 14:42
Bonjour et bienvenue à toi Louis !
Si tu suis ce fil, tu as compris que nous nous faisons tous du bien à écrire épisodiquement ou régulièrement. Pour moi, c'est très salvateur et me fait rompre l'isolement moral dans lequel je m'étais installé depuis tant d'années.
Ton parcours semble sinueux entre arrêts et reprises et cela nous rappelle à tous que le chemin est long et semé d'embûches..
Te lire me permets d'être vigilant et j'espère, préviendra les rechutes et les accidents de parcours.
Ici, c'est un peu notre Vendée Globe; on est tous partis grosso modo en même temps, certains sont rentrés au port le temps de réparer puis de repartir, d'autres filent en tête en s'imposant une cadence d'enfer clope et alcool, on a des avaries, du gros temps et puis surtout, des accalmies, des vrais moments magiques. Au fond, on se stimule en allant tous dans la même direction, en partageant tous le même objectif, mais à notre rythme, et toujours avec un profond respect des concurrents! Et puis, la maîtresse de maison est sympa! Et on a même un coach fort utile en la personne d'Olivier. Ses messages sont un vrai plus et nous redonnent la force de nous accrocher.
Je te souhaite de trouver tout le réconfort nécessaire avec nous et d'autres sur ce forum.
Bonne journée à tous
Barti qui fête ses 4 semaines et ça le met sacrément en joie!
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Par Olivier 54150
03/12/2020 à 18:01
Bonjour
Merci barti, ça fait plaisir ton p'tit mot.
J'espère apporter un peu de vent dans vos voiles.. ce serait bien.
Je suis très admiratif face à vos démarches.
J'en ai vraiment bavé pour arrêter et ça m'a beaucoup aidé pour ne pas rechuter. Ma dépendance était aussi physique. (C'est mieux de pas en arriver là, c'est trop dur.)
Pas internet à l'époque et personnes de compétant pour en parler autour de moi.
Néanmoins j'ai eu la chance de pouvoir faire une cure dans les Alpes, après mon sevrage à l'hôpital.
C'est là que j'ai appris que c'était une vraie maladie qui pouvait toucher n'importe qui.
Il y avait des chef d'entreprise, des SDF, des médecin, des vignerons...
Dès conférences par un neurologue réputé qui expliquait le mécanisme de l'addiction, la dépendance.
180 patients pour autant de personnel...
Bref, un belle investissement.
J'ai quand même mis plusieurs années avant d'être à l'aise au milieu des repas de famille bien arrosé. Surtout les fêtes de fin d'année.
J'ai longtemps pensé que c'était grâce au thc que j'arriverai à maintenir mon abstinence... Peut-être... Mais ce truc m'a fait avancer dans le brouillard et vidé mes poches. J'ai perdu beaucoup de temps et d'argent.
Ne pas boire à toujours été ma priorité. C'est pas négociable, l'alcool, c'est le pire, pour moi.
Je crois que vivre sans psychotropes c'est surtout accepter les hauts et les bas de la vie.
Que l'extatique, ou l'euphorie viens à travers un regard neuf, sans croyances, sans jugement comme lorsqu'on était enfant.
Nos addiction viens peut être d'un défaut dans notre formatage... Un manque de compréhension...
Vivre sans devient une belle aventure, je trouve.
Merci pour vos partages.
Oliv
"Demandé à un alcoolo-dépendant de faire des efforts pour moins boire, c'est comme demander à quelqu'un qui a Alzheimer de faire de efforts de mémoire."
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Par Anonyme
04/12/2020 à 19:27
Bonjour à tous Drunkette, David, Didou, Freddi, Virginie, Barti et merci pour votre accueil !
Cela me fait très plaisir de faire parti de votre groupe.
Je tenais tout d’abord à vous féliciter car si je ne me trompe pas certains d’entre nous avons “déjà" fêté 1 mois d’abstinence (Didou - David), Barti 1 mois ce week-end et dans les prochains jours pour Freddi, Virginie et Drunkette (malgré 1 ou 2 entorses mais avec beaucoup de NON) C’est TOP !!!
Je ferme la marche (11ème jour) mais je ne veux personne derrière moi.
Ce qui est super, c’est que les débuts ont été difficiles voir plus que difficiles mais quand on lit les derniers messages, ça va beaucoup mieux. Certes on y pense encore mais les envies sont moindres.
Et il y a du nouveau qui fait du bien : sport, teint du visage, forme physique, nouveau cocktail à faire partager. Quel sera le meilleur cocktail pour les fêtes ?
Nous pouvons être fiers de nous !
Allez ce WE, on continue sur la lancée !!!
Bonne soirée et à bientôt !
Louis
P.S : Merci au coach Olivier de ses messages et de son partage d’expérience !
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