Bonjour a tous et toutes ! Je viens lire de temps en temps sur ce forum depuis bien longtemps , je prend a chaque fois conscience qu'il y a beaucoup de points commun entre les gens qui boivent souvent et beaucoup trop ... alors je franchis le pas et j'écris ! Le titre est plus un clin d'oeil a un film que j'adore mais il reflète également ma vision interieure. J'aimerai vraiment me débarrasser de cette addiction qui me pourrit la vie , et par consequent celle de ma femme. Je bois tous les soirs l'apéro ( principalement du whisky ) , quand je peux je bois aussi le midi ... a chaque fois tout ceci accompagné de chips, fromage etc ... tout ce qui est tres gras. Resultat : 12 kg de pris en 1 an. Ca fait 3 semaines que j'essais de faire une journée sans boire mais je n'y arrive pas! Toujours une bonne excuse : le week end arrive je commencerai lundi , dans une semaine y a l'anniversaire de mon fils je commencerai apres, etc etc J'ai de grosse brulure d'estomac et je sais que l'alcool me fait du mal , mais ca ne me suffit pas pour arreter, je deviens de plus en plus triste , me sens nul, faible et je rentre dans une depression sans aucuns doiutes. Il y a de ca 20 ans je faisais beaucoup de sport , je veux reprendre mais il est plus facile de se mettre sur le canapé, se servir le premier verre et... les autres suivent sans pouvoir y faire quoique ce soit . Le premier verre est le pire , il enclanche le processus. Alors c'est décidé je vais arreter l'alcool. Tant pis pour l'anniversaire ? mon fils est grand , si je lui dis simplement que j'ai repris le sport et que je prefere "eviter" l'alcool il sera pas surpris ? peut etre meme content car je pense que la famille n'est pas dupe sur ma consommatiion ? J'ai besoin de parler , d'echanger et ce forum me parait le plus interessant et les membres assez actifs... Aujourd'hui est donc mon premier jour ... Des avis ? conseils ? merci par avance
Par Saperlipopette
10/09/2025 à 22:00
Bonjour à tous !
Je confirme négociation pas possible !! Je continue de me faire avoir quasi quotidiennement...
Mais il y a de plus en plus de jours sobres et les craquages sont donc moins nombreux et les quantités absorbées moins importantes aussi !
Alors je suis loin d'avoir gagné le combat mais je m'efforce de le poursuivre ! Il y a des avancées alors j'essaie de continuer dans mes changements d'habitude, qui sont certe très positifs d'un côté mais d'un autre l'envie n'est pas estompé complètement ??? !!!!
Je dois passer le cap supérieur... Mais il y a des habitudes encore bien gravés dans ma cervelle...
Force à nous !
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Par guillaume
18/09/2025 à 06:46
Bonjour a tous et toutes !
Désolé de ne pas être aussi présent que je voudrais, mais j'ai des journées bien chargées. Une chose est sure je ne vous abandonne pas.
Sur les derniers échanges je tenais à dire plusieurs choses. Tout d'abord RIELLA tu parles d'amour pour ce poison. Ce n'est pas de l'amour mais bien une maladie. Si je devais faire de l'humour du coup je pourrai parler de "maladie d'amour" ? lol... Plus sérieusement il faut vraiment s'imprimer au plus profond de notre cerveau que non seulement c'est une maladie, mais en plus une sacré maladie.
CROC je confirme que chaque jour de gagner sans alcool est un jour heureux. Tous les moments ou on gagne est important et fait avancer le moment ou ca sera le bon.
Krol tu n'est pas seule je confirme. N'hésites pas à venir échanger si tu est dans le " dur", si tu veux discuter ou simplement demander un avis ou juste te confier. On est tous dans le même Bus, et on ne juge pas : on vit tous les mêmes difficultés.
SAPERLIPOPETTE : C'est clair que les habitudes qu'on a prit sont bien ancrées au fond de notre cerveau. Mais le point positif c'est que la plupart du temps c'est des habitudes à heure fixe, des moments bien précis. Alors faut se débrouiller pour être occuper dans ces moments. Je sais, plus facile à dire qu'a faire. Mais c'est possible...
Pour ma part hier ca faisait 3 mois sans alcool. Il me semble que ca fait une éternité et pourtant " que " trois mois. je suis fier de moi. Les effets se sont accentués.
Le poids : j'en suis à 14 kg de perdus. L'arrêt de l'alcool et du coup de toutes les saletés qu'on mange en même temps, le sport, l'hygiène de vie remise au gout du jour, les activités qu'on reprend ( jardinage, balades, etc...) font que je reviens à un poids correct.
Je garde à l'esprit que rien n'est gagné et j'en suis conscient. Mais je ne pense plus à boire de l'alcool tous les jours. Il reste toujours le moment le plus difficile qui est le 18h à la maison lorsque je ne suis pas occupé, ou juste fatigué pour ne pas avoir envie de faire autre chose que de se poser sur le canapé. Alors de temps en temps je me bois un jus de tomate, une Tourtel ou bien un jus de citron avec quelques olives. Puis ca passe...
Beaucoup de connaissances me demandent si je fais un régime. Je leur dis que j'ai simplement rééquilibré mon alimentation. Je n'ai pas envie de leur expliquer que 50% des calories que j'absorbais été dû à l'alcool sik...
Mon sommeil est bien meilleur, même si je ne suis plus aussi régulier qu'avant. Je suis souvent réveillé tôt mais le sommeil que j'ai fait est de qualité, c'est le plus important.
Coté physique c'est le jour et la nuit. Plus de brulure d'Estomac quotidiennement, plus de nausée au réveil, c'est super appréciable.
Ne lâchez rien !! Le combat vaut largement le coup. Regarder la date ou j'ai créé ce fil ??? ca prouve que le cheminement prend du temps mais il faut pas lacher. On peut y arriver!
Je garde à l'esprit que rien n'est gagné, une faiblesse de quelques secondes peut anéantir tous ces efforts alors je reste trééééés prudent.
Courage à vous et ne lâchons rien : c'est une maladie: faut lutter comme une maladie!
Guillaume
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Par sebos
19/09/2025 à 08:02
Bonjour tout le monde,
Aujourd’hui, j’ai franchi le cap des quatre mois sans alcool. Dans l’ensemble, ça se passe plutôt bien : je n’ai plus vraiment de cravings au quotidien, ou en tout cas beaucoup moins que lors des premières semaines. J’ai aussi perdu du poids (8 kilos déjà !), et ça commence à se voir. Comme toi guillaume, on me demande souvent si je fais un régime ; je réponds simplement que je fais attention à mon alimentation. Je n’ai pas encore le courage d’avouer la véritable raison de cette perte soudaine. J’espère qu’un jour je pourrai dire sans détour qu’après avoir longtemps bu avec excès, j’ai retrouvé du sens à ma vie en arrêtant.
Bien sûr, il y a encore des moments difficiles. En ce moment, je suis en déplacement professionnel avec une équipe de collègues. Loin de chez nous, les soirées tournent souvent autour de l’apéro. Ils ne font pas d’excès, mais boivent presque tous, tous les soirs. Pour ne pas être tenté, je préfère rester dans ma chambre d’hôtel et n’en sortir qu’au moment du dîner. Résultat : je me sens parfois un peu à l’écart, un peu différent. Ce n’est pas toujours facile à vivre. Surtout quand je repense à l’époque où je n’étais jamais le dernier à payer ma tournée au comptoir. J’ai peur de passer pour un rabat-joie… Mais tant pis : tout plutôt que de replonger.
J’attends avec impatience le retour à la maison. Je rentrerai comme je suis parti : sobre. D’ici là, mes pensées vont vers vous tous. Je continue à suivre la plupart de vos fils, et vos victoires nourrissent ma propre bataille intérieure.
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Par sissi38
29/09/2025 à 04:34
Bonjour,
Je lis ce fil de discussion depuis deux jours et je suis heureuse de voir qu’il semble encore actif.
J’ai envie de vous suivre, car je me reconnais beaucoup dans vos témoignages.
J’ai environ 15 ans de consommation problématique, avec des pics à certaines périodes.
Je suis mariée à un homme extraordinaire et nous avons une fille adorable. Nous avons aussi malheureusement perdu un enfant il y a 10 ans et je sais que cette perte, ce deuil a contribué à mes problèmes de consommation.
Comme plusieurs, je suis très fonctionnelle, je performe au travail et je suis cadre dans mon organisation, je m’entraîne et je suis physiquement très en forme.
L’alcool est ma récompense de fin de journée après avoir cocher toutes les cases, je prends environ 1/2 bouteille de blanc au moins 3-4j par semaine, parfois la bouteille complète. Je peux passer plusieurs jours sans boire, mais rarement plus de 7j. Ma plus longue période est de 3 mois en 2020, mais la pandémie m’a fait rechuter.
Je combats aussi des troubles alimentaires depuis plusieurs années, donc souvent je bois après un entraînement intensif sans avoir presque rien mangé de la journée, disons que ça donne un beau cocktail pour que le vin me tape fort.
Comme beaucoup, je fais de l’insomnie, donc ça m’aide aussi au sommeil, mais souvent de très mauvaises nuits. De plus, je suis somnambule et l’alcool me fait faire des crises incroyables.
Ma dernière crise de somnambulisme, je l’ai eu en voyage à l’hôtel, je me suis réveillée en train de marcher dans le stationnement avec aucun souvenir d’avoir sortie de la chambre et descendu 3 étages, disons que j’ai eu très peur et j’ai fait une crise de panique monumentale. J’étais seule à ce voyage en plus.
Depuis plusieurs années mon mari me parle de ma consommation, dans les soirées, c’est presque toujours moi qui met l’ambiance, mais qui termine KO sans aucun souvenir. Certaines fois je fais de la peine à mes amis et à mon mari par mes comportements ou les choses méchantes que je peux dire. Disons que les lendemains je me fais 1000 promesses de sobriété que je finie toujours par trahir. Je me déteste dans ces moments.
Aussi, je n’ai pas 40 ans et en attente de résultats pour un possible cancer du sein, sans aucun antécédent familial, je sais que chez les femmes l’alcool est un facteur de risque.
En ce moment, je suis paniquée à l’idée d’avoir ça, surtout de savoir que j’y ai probablement contribué avec ma consommation.
Aujourd’hui je suis à j2, avec un petit craving de fin de journée qui a passé.
Vos témoignages m’inspirent beaucoup. Je ne sais pas encore si je vais vraiment me lancer (mon petit demon peut être très convaincant), mais j’ai envie d’essayer.
Guillaume je trouve ton parcours tellement inspirant, j’espère que tu tiens le coup.
Bref, merci de m’accepter dans votre groupe et bonne soirée/journée.
Sissi
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Par sebos
04/10/2025 à 08:59
139 jours sans alcool
Aujourd’hui, cela fait 139 jours que je n’ai pas bu d’alcool.
C’est à la fois beaucoup, et pas tant que ça. Mais plus le temps passe, plus cela devient naturel pour moi d’être abstinent. La plupart du temps, je ne pense même plus à l’alcool. Quand il me traverse l’esprit, ce n’est presque jamais par envie — plutôt comme un vieux réflexe qui s’efface peu à peu.
Récemment, j’ai passé plusieurs semaines en déplacement professionnel, entouré de collègues qui, pour la plupart, buvaient quotidiennement. J’ai souvent assisté, de loin, à leurs apéritifs et leurs verres partagés.
J’avoue que certains moments ont été un peu difficiles. Pour éviter la tentation, je préférais rester dans ma chambre ou aller faire du sport. En revanche, j’ai parfois eu le sentiment de m’isoler du groupe. Je n’ai pas non plus participé aux soirées dans les bars ou les clubs : je ne me sens pas encore assez fort pour résister toute une nuit à la pression sociale, surtout quand tout le monde insiste gentiment pour « juste un verre ».
Et, pour être honnête, je n’en avais pas vraiment envie. Quand on est sobre, passer une soirée avec des gens qui ont beaucoup bu, ce n’est pas très agréable.
À mon retour, j’ai revu des amis proches avec qui je buvais souvent. Cette fois, j’ai dit clairement que je ne buvais plus d’alcool. Leur réaction m’a surpris : ils ont respecté ma décision, certains ont même choisi de ne pas boire par solidarité.
Nous avons passé d’excellents moments, sobres, vrais, remplis d’échanges sincères.
Je me suis rendu compte à quel point il est bon d’être pleinement présent, lucide, capable d’écouter et de parler sans tourner en rond ni s’embrouiller.
Je commence à être capable de dire : « J’ai eu un problème avec l’alcool. »
Et loin d’être une honte, c’est devenu une libération.
Être sobre, c’est aussi mieux gérer les émotions. Il y a peu, une tension aurait pu dégénérer à la maison : reproches, colère, frustration… Avant, j’aurais répondu, crié, bu davantage pour « calmer le jeu » — et tout aurait empiré.
Cette fois, je suis resté calme. J’ai laissé retomber les choses. Et tout s’est apaisé naturellement.
J’ai réalisé à quel point l’alcool envenimait mes réactions, déformait la réalité, détruisait le lien.
Ce soir-là, j’étais simplement heureux d’avoir gardé mon calme, d’avoir préservé la paix.
Vive la sobriété.
Je crois sincèrement que je ne veux plus jamais boire de ma vie.
Je me sens mieux, plus clair, plus vrai. Et surtout, je redécouvre la simplicité du bonheur — sans poison.
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Par Peggy
07/10/2025 à 10:40
Bonjour,
Je rejoins le fil de la discussion. J'ai parcouru les 20 premières pages de la discussion ainsi que la dernière et je me décide enfin à vous rejoindre !
J'ai commencé à boire il y a à peu près 12-13 ans, le soir, 2-3 puis 3-4 voire 5 verres de rosé.le week-end, je ne compte pas, je commence dès la fin de la matinée. Il ne s'est pas passé 1 jour sans que je boive. Mais j'ai décidé qu'il était temps pour moi de changer la donne (j'y ai pensé mille fois avant de le décider vraiment).
Je pense que je consomme par habitude, je ne ressens pas de manque ou de besoin de boire, mais quand je suis chez moi, je bois, sans trop me poser de questions.
J'ai longtemps cru que je pourrai arrêter seule mais les effets secondaires me font peur !! J'ai peur de délirer, j'ai peut que mon coeur s'emballe, peur de faire des crises d'épilepsie etc... je suis persuadée que priver mon corps d'alcool ne sera pas sans conséquence et j'ai très peur des premiers jours de sobriété.
J'ai donc vu mon médecin hier, et pour la 1ere fois je lui ai expliqué ma situation. Il a été attentif et a copris mes peurs, de discussion en discussion, j'ai compris aussibque j'avais peur des conséquences de la prise d'un traitement pour m'aider à rester sobre. Je nai jamais pris d'anxiolytique ou anti dépresseur ou des choses dans ce genre, et j'ai peur de me retrouver comme un zombie.
On a donc décidé de se revoir mardi prochain et entre temps je vais essayer de limiter ma consommation à 2 verres pour que le traitement qu'il me proposera soit moins fort (il m'a parlé du vallium).
Voilà, je prends le train vers la sobriété, pour la 1ere fois car je n'ai jamais cherché à arrêter jusqu'à maintenant.
J'espère ne pas ressentir d'effets indésirables, même s'ils ne durent que quelques jours (je vis seule avec mon fils de 17ans et je n'ai pas envie qu'il me voit dans un état déplorable).
Je vous tiendrai au courant dans les prochains jours mais déjà hier soir, je n'ai pris que 3 verres et j'avais déjà l'impression d'avoir franchi un grand pas !!!
Merci d'avoir ouvert ce post et de continuer à vous suivre, et bravo à tout ceux qui peuvent compter leurs jours sans alcool (bientôt le jour 1 pour moi !)
Bonne journée
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Par Coco210
12/10/2025 à 19:18
Bonsoir à tous,
Cela fait déjà presque 4h que je lis vos posts (je n'ai pas vu le temps passer !) , et merci à tous pour vos partages d'expériences et d'émotions. Rien qu'à vous lire on se sent déjà moins seule et c'est ce qui m'a donné la force de partager avec vous ma volonté d'en finir avec cette addiction.
Je me suis beaucoup retrouvée dans différentes descriptions, dont la tienne Sissi (la plus récente également)
J'en suis à J2 suite à une soirée encore trop où je me suis ridiculisée et surtout blessée.
Comme vous tous, ma plus grande peur est la continuation, vivre sans, et avec les mêmes proches me semblent impossible.
J'espère que ce fil continuera à m'aider comme cela à déjà commencer depuis mon arrivée sur le site à 15h.
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Par chaton74
17/10/2025 à 23:24
Bonsoir.
Je viens de m'inscrire sur ce forum. 2 ans et 8 mois d'abstinence. Je prends toujours du vallium de temps en temps. Je dors toujours aussi mal. J'ai rencontré une femme qui au bout de 8 ans d'abstinence a rechute. Alors j'ai peur, tres peur.
Mon parcours a ete tres long. 5 ou 6 cures.
Il faut tenir m1is ce n'est pas facile tout les jours. Ce qui me maintient c'est mon caractère tres orgueilleux.
Courage à tous
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Par Dophinel
20/10/2025 à 00:16
Bonjour Sebos, mon conjoint et moi on avait envie de répondre à ce que tu dis sur le fait de te sentir exclu parce que tes collègues sont en bas à prendre l'apéro pendant que toi tu restes seul dans ta chambre d'hôtel de peur de flancher.
Pour ma part j'apprécie vraiment les boissons zéro que ce soit le vin qui est très bon en France, mais aussi les bières en Belgique nous en avons une fameuse collection qui sont vraiment de mieux en mieux...
Dans de nombreux endroits tu peux facilement trouver des boissons agréables sans alcool qui permettent de profiter du moment de l'apéro avec tes collègues sans pour autant être tenté par de l'alcool surtout si tu dis qu'en plus il n'exagère pas ça te permettrait de ne pas avoir ce sentiment d'exclusion mais je sais que les gens sont mitigés sur le fait de boire des boissons comme des bières ou des vins des alcoolisés en tout cas moi c'est ce qui me permet de tenir depuis presque 2 ans avec une "rechute" entre les deux.
Comme je suis footballeur depuis ma tendre enfance et que c'est un milieu connu pour ses excès d'alcool, je suis également supporter du meilleur club belge de tous les temps, c'est important pour moi que tout mon entourage soit au courant de ma sobriété et maintenant ils s'y sont tellement bien habitués que je n'ai même plus besoin de dire quoi que ce soit ils font ce qu'il faut pour m'apporter ma bière sans alcool pendant que prennent leur bière habituelles....
C'est vraiment un soutien qui est précieux à mes yeux et me permet d'avoir une vie sociale pratiquement pareil qu'avant si ce n'est que je reste moins longtemps pour les 3e mi-temps parce que une fois que il commence ou que certains commencent à être vraiment trop plein bah je ne les trouve plus du tout drôle comme je pouvais les trouver à l'époque vu que je ne suis pas dans le même délire qu'eux.
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Par Chacha1
20/10/2025 à 12:33
Bonjour
Je vie exactement la même situation.
J'ai décidé de voir un medecin généraliste cet après midi pour commencer mon abstinence. Je crois qu'il est important de ne pas faire cette démarche seul. Je vous tiendrai au courant
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