Bonjour. Ma présence sur ce site est régulière depuis quelques semaines, mais voici que pour la première fois j'écris. Je me reconnais tellement dans ce que je lis ici. Je suis juste dans l'étape de prise de conscience : oui je suis alcoolique. Il faut que je me l'avoue une bonne fois pour toutes. Car peu importe que je ne boive que du vin, peu importe que je sois capable de ne pas boire pendant quelques jours. ce ne sont pas des excuses qui feraient que je ne suis pas "tout à fait " alcoolique. Si je le suis, complètement. Alcoolique. Alors bien sur, tant que c'est festif , ou même en couple, on fait comme si c'était pas grave. Même si les quantités sont là, même si la régularité et l'envie irrépressibles sont là. Mais quand , comme depuis deux mois, j'achète et bois de l'alcool seule car mon mari n'est plus là la semaine, et bien on est face à ses réalités. Bien obligée d'assumer. quand la bouteille se transforme en cubi parce que c'est plus facile à jeter, (et parce qu'on ne compte pas bien combien on boit ??), quand on s'arrête que parce que c'est vide ou parce qu'on s'endort comme une merde, quand on se cache de ses enfants qu'on colle devant la TV pour pouvoir boire, quand on se dit "pas demain " mais que demain on recommence, quand on se rend compte qu'on a oublié une partie de sa soirée canap tv quand on se dit que le week end on peut se lacher, sans s'avouer qu'on s'est laché toute la semaine quand on se rend compte qu'à la dernière invit chez des amis, on a amené une bouteille qu'on s'est sifflé toute seule quand on commence à se dire que finalement un ou deux verres le midi pourquoi pas... Alors OUI on est alcoolique. Comment ai je pu faire semblant de ne pas le voir depuis tout ce temps ? Et maintenant ? Je suis perdue ! Que dois je faire ? Vais je y arriver seule ? sans aide ? sans médicament ? dois je avoir le courage d'aller en parle à quelqu'un ? Je sais que je ne suis qu'au début d'un long chemin. La libération risque d'être longue et semée d'embûches. Je n'écrirai pas aujourd'hui c'est mon dernier verre car je suis faible. Et que je pressens que ce serait mentir, évidemment. Mais j'ai au moins écrit "je suis alcoolique"
Par Anonyme
08/08/2021 à 17:36
Bonjour Plucho44,
Déjà 1 semaine que vous avez écrit sur ce fil et je viens aux nouvelles. Comment les choses se passent-elles pour vous? Toujours aussi fatigué? Toujours 24h à la fois?
Je ne me suis pas encore présentée, mais je me reconnais si souvent dans les propos de ce forum! Dans ma vie privée, je n'ai pas encore fait mon coming out d'alcoolique. Personne dans mon entourage n'est au courant. Il faut dire que je vis seule. Je dois rencontrer un vieil ami prochainement et je compte le lui dire. Ouch! Aie! Est-ce que ça impliquera de ne plus jamais boire un verre? Je pense qu'il est inutile d'essayer de prévoir l'avenir et qu'il vaut mieux cheminer un jour à la fois
J'essaie de calmer mon envie de boire avec de l'huile CBD. Ça m'aide.
Oui, un grand merci pour ce fil.
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Par Anonyme
09/08/2021 à 10:40
Après ces soirées où j’ai essayé de tester la modération j’ai fini trop souvent avec des trous de mémoire c’est ce qui est le pire pour moi ,ne plus me souvenir de la fin de discussion avec mes amis.
Il y a aussi Mon visage qui se bouffie légèrement , c’est pas vraiment visible de tous mais moi je le sais devant mon miroir. Une culpabilité enfouie. Je connais mon problème et je tarde à décider de arrêter à nouveau complètement. Commme pour les autres aspects de ma vie si je ne suis pas exigeante, rien ne fonctionnera vraiment comme je le souhaite.
J ai décidé de repartir dans la sobriété. Ça y est.
Après avoir lu un livre de développement personnel je vous transmets cette phrase: « un effort extraordinaire entraîne un succès inévitable »
Mon effort extraordinaire c est de ne pas prendre ce 1 er verre
Mon succès inévitable c est de ne plus perdre mon identité.
Et pour fêter ça je bois 3 litres d eau et je compte bien retrouver une silhouette de rêve et un beau visage bien dessiné.
J+4
Merci à tous.
Virginie
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Par roland
09/08/2021 à 11:57
@Jenesaispasmarreter
"Roland, J'aimerais savoir si le Sélincro on peut choisir de le prendre pour une soirée. Il y a des soirs ou je sais déjà que si je commence cela va dégénérer. Et j'ai envie juste d'une coupe pour trinquer avec les autres. Le mieux est de ne pas toucher le premier verre mais j'aurais aimé savoir si en prenant un selincro par exemple avant ce genre de soirée je pouvais boire une coupe et m'arrêter là. Ce serait génial."
Bonjour Virginie,
D'après mon expérience oui, d'ailleurs c'est ce que je fais, je ne le prends pas systématiquement, j'ai d'ailleurs arrêté pendants les vacances ... sic ..!
Mais bon ça va, même si j'ai consommé à peu près tous les jours, c'est resté raisonnable, si je compare à l'année dernière à la même période !
Après, c'est à voir avec ton médecin, perso, je prends un 1/2 voire 1/3 de cachet, ça fait certainement moins effet, mais si j'en prends un entier, je suis dans un état second tel que je ne suis plus apte à rien, pire que l'alcool en fait :-/
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Par barti
11/08/2021 à 10:51
Salut les amis!
Me revoilà après 1 mois de vacances et un peu de distance avec le fil, notre combat, nos histoires.. Ça fait du bien mais quel plaisir de vous lire à mon retour.
Très chouette d'avoir de vos nouvelles à tous (trop nombreux pour vous citer tous, la communauté est immense, signe que notre problème est quelque peu répandu.. et une petite pensée pour Virginie et Davidoff qui s'accrochent, les historiques ! Bienvenue à vous Haiko et Fleurdelys; oui, ce fil est très aidant et n'hésitez pas à vous livrer.. Ça ne coute rien, personne ne juge et on se sent beaucoup, beaucoup moins seuls...
De mon côté, ça tient toujours, j'ai fêté mes 9 mois d'abstinence il y a quelques jours et je peux maintenant dire à ma femme que j'ai fait au moins aussi bien qu'elle durant ses grossesses (bon, j'ai trois enfants, alors, il faut que je tienne 27 mois pour faire jeu égal...)
Premières vacances d'été sans une goutte d'alcool et dur dur au début. Toujours ces lancinantes questions sur la date à laquelle je pourrai boire de nouveau un verre, juste un verre, décontracté, décomplexé et sans aucune attitude addictive... LA question d'alcoolique. Celle qui nous fait oublier que c'est une foutue maladie, que non, il ne s'agit pas de volonté, de contrôle de soi..
Et puis, après quelques jours, le plaisir d'être sobre, de profiter des moments ensemble en famille, de faire du sport sans en chier des ronds de chapeau, de retrouver tout ce dynamisme et cette furieuse envie de mordre la vie à pleines dents qui nous fait nous dépasser, vivre si intensément notre vie.
J'ai fait de l'eau pétillante/citron ma boisson fétiche qui m'a accompagnée tout l'été. C'était cool et ça maintient le plaisir de se poser un verre à la main !
Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, les vacances sont un piège dans lequel je suis tombé moult et moult fois lorsque je buvais: on attend cela toute l'année, on se dit que nos excès de l'année se calmeront en vacances sans pression, sans stress de la vie active. Et non, c'est souvent bien le contraire. D'abord, on se relâche physiquement et mentalement, et ça appelle nécessairement une petite béquille (quoi de mieux qu'un peu d'éthanol pour se relaxer...) Ensuite, on se retrouve H24 avec son épouse, ses enfants et c'est un euphémisme que de dire qu'il faut quelques jours pour que tout le monde prenne ses marques et supporte puis apprécie le petit confinement familial !
Avant, avec mon épouse, lorsqu'il y avait quelques tensions entre nous ou avec les enfants, un bon apéro de fin de journée (7 me concernant, 2 la concernant) mettait tout ça en sommeil, nous évitait de nous confronter à la vie telle qu'elle est, nous faisait rigoler bêtement de la journée et tourner sur nous-mêmes.
Aujourd'hui, c'est plus compliqué, ça demande plus d'effort et les tensions ne s'apaisent plus artificiellement. C'est à nous de chercher les connexions, à nous de provoquer les réconciliations, la compréhension des choses, à nous de créer les conditions de la détente et de la relâche, à nous tous seuls, sans chimie !
On y arrive, je vous assure, on y arrive même très bien!
Mais on est pas habitué à ça alors ça me fait un peu l'effet d'être un ado qui se retrouve en tête à tête avec sa petite amie et qui ne sait pas quoi dire ou faire, qui ne peut plus faire le kéké en public.
En fait, depuis ces 9 mois, j'ai l'impression de réapprendre à vivre, à connaître mes proches, mes enfants, à les écouter. Je me sens vachement moins tourné vers moi-même.
C'est jouissif mais épuisant et parfois très insécurisant. Mais une trés trés belle aventure qui procure (contrairement à ce que mon cerveau d'alcoolique pensait), beaucoup plus d'émotions , de joie et de réconfort que l'état second trouvé avec l'alcool ou le shit et l'herbe.
Voilà, c'est tout moi, je voulais juste vous saluer, continuer à vous encourager et voilà que je vous écris un roman sur mon état d'être.
En même temps, c'est à ça que sert le fil! je n’espère ne pas vous ennuyer avec ces épisodes introspectifs. Je pense que certains ressentent ce que je vis.
A très vite et accrochez-vous; profitez de vos nouvelles vies autant que je la savoure (dans les moments de lucidité et il ne sont pas exclusifs, rassurez-vous!)
Prenez soin de vous.
Amitiés
Barti
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Par Anonyme
12/08/2021 à 04:29
Vous savez quoi ? Ça pourrait m’attrister la manière dont vous présentez votre situation.
Mais pas du tout ! C'est honnêtement et brillamment dit.
Je n'ai pas de conseil à donner, j'ai échoué au cap que vous souhaitez passer. Pas l'acceptation, ça semble bien fait et primordial, bravo ! Mais la cure. Puis l'envie de la cure suivante si besoin.
J'ai super-bien vécu cette période cure, dépaysement total. Il faut faire ! Comme aurait dit ma grand-mère, "fais ce que je dis, fais pas ce que je fais". Je dis ça parce_que, si ça ne fonctionne pas au 1er essai, difficile d'insister. Alors que, oui, il faut le faire.
Je suis en train de me convaincre de tout ce dont je ne suis pas capable, c'est gonflé. Le profil du gars qui se ment (ou se cache des truc).
Comme dirait tout bon alcoolique, je vais aller me coucher.
Bon, sérieusement, vous avez accepté-compris. C'est vrai que c'est dur de dire au boulot "je suis alcoolique'. Mais cherchez autour de vous une personne en surpoids (pas dur) que vous n'aimez pas (pas trop compliqué) et vous dites "ça va ton diabète au fait ?"
L'humour est un facteur de déni je pense.
Bon courage,
Christophe
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Par Anonyme
12/08/2021 à 13:15
Bonjour à tous,
Hier soir, j'ai passé 4 heures à lire les 44 pages.
J'ai été frappée de me reconnaitre à ce point dans les témoignages de Drunkette, Virginie, David, Barti, Louis. Ceux du début que j'ai suivis avec intérêt..
Drunkette, comment vas-tu ? C'est toi qui m'a tant accrochée dans cette lecture que je n'ai pas trouvée par hasard.
J'ai 41 ans, 20 ans d'alcool, le soir, puis depuis cette année, le midi aussi. Beaucoup de modifications de mon comportement, des méchancetés, du chantage affectif, un enfer pour mon ami. Puis un réveil avec les yeux plus que bouffis. J'en ai marre. J'ai drastiquement réduit depuis 3 jours. Une bière le soir. Mais je sais que je ne peux pas m'en tenir là.
J'envisage la même solution que vous, l'abstinence. Avec la même peur que vous au début, renoncer à jamais à l'alcool (quoi que pour être honnête, ce n'est pas si clair dans ma tête). Me dire que l'alcool vient étouffer des angoisses, de l'ennui, une mauvaise image de moi.
Que ça fait aussi partie de mon identité, comme je l'ai lu. Que je suis toujours partante pour un verre, que c'est cool et convivial. Sauf que ces derniers temps, c'était pathétique, et pas du tout convivial. Beaucoup de honte le lendemain.
Je me sens au pied d'une montagne, je ne sais pas si je suis capable d'admettre que je ne dois plus boire, et comment faire pour que ce ne soit pas trop dur. Par la compréhension peut-être.
Je serais bien tentée de suivre le chemin de Barti et des autres, mais c'est votre chemin, et je dois trouver le mien, me trouver en fait.
Bonne journée
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Par Biby
12/08/2021 à 22:35
Bonjour,
Après avoir pris le temps de lire ce file, il m a permis d ouvrir les yeux, de comprendre que diminuer ma consommation ne serait pas possible. La seule solution, arrêter.
Je bois depuis, j ai envie de dire toujours… le soir, chez moi.le week-end a partir de midi. Pour décompresser de ma journée. En soirée, je ne m arrête plus. Je suis la bonne copine que mes copines appelle quand elles ont envie de sortir et boire un verre, la copine toujours partante.
Me coucher après avoir traversé mon appartement en titubant de mon canapé à mon lit. Me réveiller en ayant les yeux gonflés encore maquillé de la veille, parce que pas en état de m arrêter à la salle de bain. Avoir honte, me sentir nul et incapable, me promettre de pas boire ce soir et à 16h commencer à réfléchir à ou aller acheter ma bouteille de vin de la soirée en sortant du travail. Cette vie j en veux plus, plus comme ça. L impression de vivre en permanence dans le brouillard. La vie me glisse par dessus.
Du coup, je vous ai lu, je vous ai admiré pour votre courage. Et ça m’a donné le courage de me lancer. Alors pour ça, merci a vous tous pour vos partages, vos confidences.
Aujourd’hui je peux dire,une phrase qu y me semblait impossible il y a peu ça fait 7 jours, 7 jours que je n ai pas bu. Et qu es ce que je suis fière de moi. Je suis fière de me lever le matin en ayant pas bu la veille. Ça change du sentiment de honte. Je ressent comme un dégoût de l alcool, j espère que ça va durer. J avoue que j ai un peu peur que ça soit l euphorie du début et que la chute soit dur.
Je me rend bien compte qu il va y avoir beaucoup d habitudes a changer. Le week-end dernier 2 repas au restaurant, à l eau. Ça change mais c est pas désagréable.
La route va être longue, j espère ne pas trop trébucher, mais je suis tellement convaincu que ça en faut la peine. Découvrir la vie, la vrais pas celle déformée par les vapeurs d alcool.
Toute bonne soirée à vous tous, et merci ☺️
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Par barti
13/08/2021 à 10:47
Bienvenu à vous Mariette et Biby!
Je ne pensais pas que ce fil pouvait être lu de bout en bout et vous aider donc je l'ai relu par passage et je comprends qu'il faille 4h! EN tout cas, pour moi, c'était trés constructif de relire notre parcours, nos étapes, nos chutes, nos angoisses, mais surtout nos enthousiasmes, nos joies, nos fiertés, ce qui nous fait tenir.
C'est bateau de le dire mais vous le savez, la première étape est la prise de conscience. Ecrire me concernant est très salvateur et se relire l'est encore plus.
Ne vous demandez pas si vous allez y arriver. Vous êtes déjà dans la réussite en écrivant et en vous essayant à l'abstinence ou la réduction de consommation.
Biby, tu crains l'euphorie des premiers jours: ne la crains pas, profites-en, cette euphorie ne disparaît pas! et elle immisce dans le cerveau un petit souvenir heureux et gratifiant!
Je le confirme, c'est vraiment euphorisant de vivre cette aventure. Ne plus voir notre maladie comme une malédiction, la tuile de notre vie. Sans maladie, découvrirait-on aujourd'hui le bonheur de redécouvrir le monde, nous interrogerait-on si profondément sur le sens de notre vie, notre rapport aux autres,à nous-même?
Ce qui est fait est fait. On peut se sentir honteux, vivre pétris de regrets ou au contraire décider d'être heureux,accepter notre passé pour nous construire un présent et un futur enchanteurs! Des remords oui, des regrets non!
La route est longue et semée d’embûches mais c'est une route et le simple fait de la prendre est un accomplissement en soi.
Venez autant que nécessaire échanger avec nous ici. Et faites vous votre histoire. Nous avons tous de grands points communs mais nous vivons tous nos aventures, nos combats de façon singulière. Pour nous, pour une fois...
A très vite. Courage et bravo pour vos messages très sincères.
Barti
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Par Anonyme
13/08/2021 à 12:59
Bravo Biby ! Sérieusement ça me fait plaisir de te lire. Quand on arrête et qu on va super bien on croit qu on peut reboire sans danger et c est ça le danger. Je te conseille de ne pas reboire le 1 er verre en te disant que tu as eu ta dose pour la vie avec tous tes excès, que ça y est l ivresse tu connais, que maintenant tu veux tester la lucidité dans ta vie. On rigole moins pour des conneries, on en dit moins aussi… on en fait moins AUSSI !
Et surtout on se respecte et on s aime soi même.
Avec l arrêt de l alcool il y a un changement qui se crée en moi. Je commence à percevoir la vie autrement. Comme si cet arrêt commençait à m apporter le pouvoir de voir plus loin, la lucidité me fait voir la lumière au bout du tunnel, j ai simplement ei du mal à savoir par où je devais regarder, à trouver une direction. Lister les véritables envies , chose que je ne faisais pas en sommeillant dans l ivresse on ne se pose aucune question. J espère aller loin grâce à cette expérience afin de transformer une ancienne addiction en lumière pour le futur . Ce sont nos échecs passés qui permettent la réussite a venir. Ce qu il ne faut pas faire, au moins on le sait vraiment.
Bien du courage et du bonheur à toi dans la dignité retrouvée !
Virginie.
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Par barti
13/08/2021 à 13:32
Bougie d'anniversaire des 400 messages échangés sur ce fil!
Une grande pensée pour toi Drunkette. Merci. J'espère que ton chemin se poursuit, à ta manière, et que tu nous lis de temps en temps. Didou, quand tu en auras l'occasion, fais nous signe également.
Tu ne t'imaginais probablement pas l'effet incroyable de ton premier message sur AIS et le nombre de gens à qui tu as permis de libérer leur parole.
Et une petite pensées aux modérateurs qui bien que peu présents dans notre fil, lisent et valident jour après jour nos affres et nos joies.. Merci à vous.
Entièrement d'accord avec toi Virginie, je partage complètement ton dernier message et suis heureux de te savoir en forme
Barti
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