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Bonjour,

C'est ma première sur le fil

Je ne bois pas la journée mais j'ai cette envie irrepressible à partir de 17h de boire une pinte puis une deuxième sans dépasser trois.

J'ai essayer l'acamprosate depui 4 semaines. Très bon envie au début avec plus de craving. Une petite envie au bout d'une semaine soulagée par une Guinness,t là je reviend à mes vielles habitudes.

Je culpabilise enormément et j'ai envie de sortir de ce schéma quotidien.

Je suis un peu perdu

Bonjour 

Je suis alcoolique depuis de nombreuses années, 1 à 2 bouteilles de vins tous les soirs de l'année 

Je suis à j9. Je n'ai pas de symptômes physiques, mais je pense à l'alcool tout le temps. Vous faites comment pour ne pas y penser ?

Bonjour, ce matin je décide de ne plus boire. Voici ma situation : je bois tous les soirs. Le week-end c est midi et soir. Je bois tjs seule ou au repas de famille. Mon envie vient tjs le soir. La journée mon travail m occupe l esprit. Le matin en week-end je fais du sport et cuisine.  Et après je ne sais plus comment m occuper alors je bois. Mon état d esprit : ça va je suis fière de ce que j accomplie quand je bois pas. Puis je bois et là je suis dépressive. Du coup, une énième fois je tente l arrêt.  12h sans alcool le 6/10 à 7h30 🙂 c est déjà ça. Bonne journée et à très bientôt 

Salut emi82.

Moi, quand j arrive à ne pas boire, c est en buvant des bières sans alcool.  Après je mange et plus de place pour l alcool. Je suis comme toi, j ai pense dès le matin, je me disais réveil "aujourd'hui je ne bois pas". Mais arrivé vers 18h l envie revient en force ! 

Bonjour emi82. Moi il m'a fallu de longues semaines d'abstinence pour enfin me rendre compte que je passai des journées sans penser à l'alcool. Pourtant en même temps lorsque l'on boit on ne cesse également d'y penser : Vais je avoir assez d'alcool ce soir ? Est ce que le magasin sera ouvert lorsque je rentrerai ? Comment je vais faire si je rentre dimanche après midi ? Il faut que je pense à m'approvisionner en amont. Bref, même quand on boit on y pense. Enfin je vous conseille d'identifier cette petite voix qui vous parle, de la situer dans votre cerveau, de vous l'imaginer, moi c'est ce que je fait et lorsqu'elle parle trop fort, je lui intime de se taire. Je la vois comme le moi alcoolique, celui que je ne veux plus être. Bon courage, tenez bon, plus le temps passe, moins c'est dur d'être abstinent !