Sevrage en hopital

Bonjour à tous,

Suite du parcours de combattant.. J'ai rechuté après 3 mois d'abstinence, bêtement car cela ne me posais pas de problème vraiment.
J'ai depuis toujours des difficultés (déprime, moral en berne..) en fin d'année, quand s'approchent les fêtes que je ne fête pas..
En décembre 2022, 3 mois après le sevrage, je me suis dis "à quoi bon, pourquoi se priver?"
Erreur que je me reproche, mais bon..
Après réflexion, il s'avérait que je n'étais pas que addict au produit mais qu'il était un outil pour endormir le cerveau..
J'ai entamé une thérapie pendant 6 mois, pour chercher les causes, certaines choses se sont éclairées mais pas toutes.
Et je me fait accompagner en acupuncture, ça ne fait pas de miracles mais ça aide.

Je reprends donc mon bâton et décide d'un nouveau sevrage. J'y ai passé l'été et force est de constater que la crise des hôpitaux est bien réelle, j'ai rempli des dossiers d'amission pour rien, soit des services ont fermés ou ne cherchent plus de "clients", ou bien m'entendre dire, On ne prends pas les personnes hors du département..
Désolant quand on sait l'effort et la motivation que cela demande!
Comment expliquer l'argent dépensé pour des campagnes de blabla à la télévision alors que cet argent serait mieux utilisé dans les centres eux-mêmes?
Peut-être juste pour que nos dirigeants aient bonne conscience?

J'ai trouvé un centre à Létra, et j'ai bon espoir que ça aboutisse, le dossier est en cours, il me manque quelques éléments médicaux.
Et je dois faire une lettre de motivation, aucune idée de ce que c'est, si quelqu'un (e) peut m'aider..

Voilà, je donnerais des nouvelles quand j'en saurais plus.
Tout de bon à tous.
Pete.